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LES COCHONS :

Nous en avons eu de toutes sortes et de toutes couleur: les Mangaliza ont été les plus originaux, C'était une race en voie d'extinction et c'est ce qui nous avait motivé, mais, que de gras, que de gras! Viande délicieuse et persillée à souhait, mais trop grasse pour la charcuterie corse chère à Franz



Mangaliza ...

ou "cochons laineux"


Nous  sommes donc  revenus aux races plus communes, et à défaut des magnifiques cochons corses noir, impossible à trouver nous achetons nos porcelets à un naisseur alsacien. Ils se sont jusqu'à présents bien adaptés à la vie en montagne.
Nous les élevons en parcs clôturés de deux fils électrifiés, en forêt , et les rentrons chaque soir pour compléter leur ration.

les cochons en ballade
Le petit-lait est un sous-produit de la fabrication des fromages. Nous en redistribuons une partie aux chèvres. Pour valoriser ce qu'elles ne consomment pas nous achetons quelques porcelets au moi de mai et les élevons ensuite pendant 6 mois... En général, 4 ou 5 par an qui sont conduits en semi-plein air : rentrés le soir et parqués en forêt pendant la journée. Ils broutent volontier l'herbe jeune, se délectent des restes de nos repas et des pelures de nos légumes ou d'orties fauchées, mais il faut aussi compléter leur ration par des céréale

Ils sont abattus avant Noêl, à 7/8 mois, Nous en gardons deux, destiné à la consommation de nos deux familles. Les 3 autres sont vendus à nos amis amateurs de viande de qualité et soucieux du bien-être animal.

LE PETIT TROUPEAU DE MOUTON


Pour bien nettoyer les pâtures après le passage des chèvres (et aussi un peu "pour s'amuser"), Franz élèvait aussi une dizaine de brebis de race Suffolk, qui donnaient chacune 1 ou 2 agneaux par an.

les moutons suffolk en bergerie

Les agneaux naissent en bergerie et sortent au pré avec mamans et bélier dès les premiers beaux jours.

En montagne, les clôtures sont rapidement abîmées par les amas de neige et les brebis en trouvaient les moindres failles, et avec les années, le  berger courrait moins vite que ses agneaux ....

De plus des chiens errants du voisinage ont plusieurs fois tué et blessé mères et agneaux, sans que les propriétaires responsables acceptent d'assumer leur responsabilité: C'est grâce à la vigilance et au témoignage d'un autre voisin et seulement après avoir déposé plainte auprès du tribunal que leur responsabilité a pu être établie.

En 2008, après ces déboire décourageants le troupeau de brebis est vendu et s'il nous laisse de bon souvenirs, comme lors des journées de tonte nous en avons aussi gardé une certaine amertume...



Les Abeilles

Franz  à la retraite décide de reconduire sa tentative d' il y a 40 ans , d' élever des abeilles.



2015:  4 essams (essaimage pas maîtrisé) petite récolte tout de même, 4 ruches de plus à construire en urgence
premiers traitement anti varroase bio
Perte de deux ruches devenues bourdonneuses en automne : les acides formique et oxalique du traitement sont agressifs pour les reines et les fragilisent. Il faudrait les associer à un petit élevage de reines....







2016 perte de 2 essaims qui s'envolent ailleur 5 essaims rattrapés dont 1 venu d'ailleurs .
10 ruches donc en automne


2017: premiers essaims artificiels 3 ruches supplémentaires 12 ruches fin d'année. Mais l'hivers 2017/2018 est rude seules 6 ruches passent le cap.
2018: pas d'essaimage au printemps, belle récolte de miel, un essaim récupéré, un autre en cadeau et un essaim artificiel réussi après la miellée.
2019: printemps précoce suivi d'un mois pluvieux et froid, famine chez les abeilles, nourrissement de secour obligé, 10kg de miel seulement récolté sur 6 ruches.
2020: démarre sous de bon hospices printemps précoce, ruches populeuses, hausses posées dès 20 avril, presues pleines le 3 mai !



LA BASSE-COUR en 2005


 

Cette fois-ci, c'est Fred qui a voulu s'amuser en achetant à Pablo 4 poules, un coq, un canard de Rouen et une cane de Barbarie.

La magie de la vie a multiplié par 2 l'effectif de volailles en 2005 ...

Mais le Renard a divisé par 7 cet effectif une nuit de septembre ! Lui aussi considérant qu'il fait  partie de cette magie de la vie...

En 2008 c'est l'épervier qui a eu le dernier mot en tuant la dernière rescapéeet nous n'avons pas voulu  jusqu'à présent  renouveler l' expérience...mais maintenantvoici


 

 

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Pablo et son coq, un soir enneigé de janvier 2005. Lequel des deux est le plus fier ?

La Basse-Cour 2018

oubliés les déboire d'il y a 12 ans, nous décidons d'aménager un nouveau poulailler
Nous construisons une cabane sur roues, qui après avoir été l'échoppe à bière de quelques fêtes, prend ses fonction d'abri à poules.

Isolé par de la laine de chanvre car les hivers sont rudes et découragerait la ponte des belles.

Le poulailler est entouré d'une clôture électrifiée, et couvert d'un filet pour pour décourager le renard et l'épervier. Pour l'instant après 1 mois,cela fonctionne...





Les locataires : ce sont 2 poules et un coq de race Araucana, petit gabarit, joli pampilles de plumes, bonne couveuse, elles sont déjà entrain de préparer la relève, sur leurs des oeufs de couleur turquoise, elles gloussent d'aise et paient leur loyer en nature avec des oeufs d'une belle couleur turquoise; curiosité le coq est sans queue.


Mais nous avons aussi 3 poules de race Marrans avec leur coq, pattes emplumées, ainsi qu'une belle et blanche Leghorn, une comptoise grise une Limousine, grise aussi et une ardenaise noire.



Hélas, fin décembre Maître Renard a profité d'un instant d' inattention et a emporté 8 des 12 poules. Nous avons remplacé celles-ci par de nouvelles venues, prêtes à pondre :  2 poulettes Sussex, 2 Leghorn , 1 Coucou.
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